À une époque pas si lointaine, les cas de ces Français privés du droit de visite de leur enfant enlevé par leur ex-conjoint d’origine japonaise ont marqué les esprits. Très en retard par rapport aux autres pays développés, et exhorté par eux, le Japon a fini par franchir un cap décisif en 2014, en ratifiant la convention de la Haye sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants. Désormais, des procédures obligent de rapatrier dans son pays de résidence initial un enfant enlevé par l’un de ses parents dans son pays d’origine.

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