Dans la revue de presse du vendredi 27 octobre, nous aborderons : la fin de l’examen de sécurité à Fukushima, l’explosion des coûts pour l’Exposition universelle, ainsi que le harcèlement trop fréquent des femmes au travail.

Sécurité de l’opération

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a achevé ce jour son examen de la sécurité du rejet d’eau à Fukushima. L’AIEA prévoit de compiler un rapport sur cette mission de quatre jours d’ici la fin de l’année. Cette mission comprenait une inspection sur place des installations de traitement de l’eau et de rejet sur le complexe nucléaire. Les membres de la mission ont également échangé des points de vue avec les autorités japonaises, l’exploitant de la centrale (TEPCO) et l’Autorité de régulation nucléaire sur le fonctionnement de l’installation de rejet et les procédures de surveillance environnementale. Depuis août, l’exploitant de la centrale a rejeté environ 15 600 tonnes d’eau traitée, dont la majeure partie des radionucléides a été éliminée, laissant du tritium dilué dans l’eau de mer, avec une concentration 40 fois inférieure à celle autorisée par les normes de sécurité.

Les coûts explosent

Les coûts de construction pour l’Exposition universelle de 2025 à Ôsaka augmentent encore et encore, notamment pour le pavillon prévu par l’Union des gouvernements du Kansai. Le coût estimé de construction du pavillon de l’union s’élève désormais à environ 670 millions de yens (environ 4,2 millions d’euros), soit 145 millions de yens de plus que le devis initial. Cette augmentation est due à des changements de conception et à des coûts en hausse pour la main-d’œuvre et les matériaux de construction. De plus, le coût de construction du site de l’exposition a augmenté de 1,9 fois par rapport à l’estimation initiale, atteignant 235 milliards de yens. Chaque département contribuera proportionnellement aux coûts de construction.

Travailleuses harcelées

Plus de la moitié des femmes prêtes à travailler ont été victimes de harcèlement de la clientèle, selon une enquête menée par un institut de recherche privé. L’enquête, réalisée en ligne auprès de femmes au foyer motivées à travailler, a révélé que 29,5% avaient connu ce harcèlement « une fois » et 22,1% « plusieurs fois ». Près de 70% des répondantes ont signalé des abus verbaux, des interrogatoires persistants, des propos violents et des demandes déraisonnables de la part des clients. L’institut souligne la nécessité d’une relation basée sur le respect mutuel plutôt que sur une hiérarchie où le client est considéré comme supérieur.

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